Pilier de Delhi . Cette couche prit forme dans les trois années qui suivirent l'érection du pilier et gagna lentement en épaisseur depuis, pour atteindre aujourd'hui celle d'un vingtième de millimètre. D'après le professeur Balasubramaniam, le pilier se trouvait probablement à Udaygiri ou Vishnupadagri dans le Madhya Pradesh, en Inde centrale, avant de rejoindre son emplacement actuel. Cependant, Qûtb laissa le pilier en place et fit répartir les bâtiments tout autour. Dans le dernier cas, ces objets métalliques subissent des contraintes météorologiques plus importantes que le pilier de Delhi, car ils sont exposés en permanence à l'air marin du golfe du Bengale, sur les bords duquel est construit le temple.L'archéologue britannique Alexander Cunningham, premier directeur de l'Archaeological Survey of India, est aussi le premier à faire analyser le pilier par des métallurgistes qui révèlent, d'après leurs calculs, qu'il est composé d'un fer pur à 99,72 %, une qualité obtenue seulement au XIXe siècle en Occident, mais qui semblait courante dès le Ve siècle en Inde.

Sélectionnez une option ci-dessous pour visualiser l’itinéraire étape par étape et comparer le prix des billets et les temps de trajet sur votre calculateur d’itinéraire Rome2rio. La réduction continue de la lépidocrocite et la diffusion de l'oxygène et la corrosion complémentaire à travers les fissures et les pores de la rouille contribuent encore au mécanisme de corrosion des conditions atmosphériques.Le pilier a été analysé une nouvelle fois, en 2002, par une équipe dirigée par R. Balasubramaniam de l'Institut indien de technologie de Kanpur, équipe qui a résolu le mystère. Au fil du temps, le phosphate amorphe est précipité dans sa forme cristalline (ce dernier étant donc un indicateur de la vieillesse, car cette précipitation est un phénomène plutôt lent).

Dans la cour de la mosquée du Ktub Minar, à Delhi en Inde, se dresse une impressionnante colonne de fer de plus de 7 m de haut. Le pilier de fer de Delhi mesure plus de sept mètres, en comptant la partie enterrée et le chapiteau, et pèse plus de six tonnes [2].Il est composé d'un fer pur à 99,72 %, une qualité obtenue seulement au XIX e siècle en Occident, mais qui semblait courante dès le V e siècle en Inde. Dans un article paru dans Current Science, Balasubramaniam affirme que le film protecteur s'est formé de façon catalytique du fait de la présence d'une haute teneur en phosphore dans le fer, jusqu'à 1 % à comparer au 0,05 que l'on trouve couramment dans le fer actuellement. L'archéologue britannique Alexander Cunningham, premier directeur de l'Archaeological Survey of India, est aussi le premier à faire analyser le pilier par des métallurgistes qui révèlent, d'après leurs calculs, qu'il est composé d'un fer pur à 99,72 %, une qualité obtenue seulement au XIX e siècle en Occident, mais qui semblait courante dès le V e siècle en Inde. Le pilier de fer de Delhi ou pilier de fer de Mehrauli est un vestige archéologique et une curiosité métallurgique se trouvant dans le complexe du Qûtb Minâr dans la banlieue sud de Delhi.Il a la particularité de présenter une forte résistance à la rouille [1] due à une couche uniforme d'hydrogénophosphate de fer cristallin qui le protège des effets du climat de Delhi. Enigmes < Enigmes archéologiques < Pilier de Delhi . Le pilier de fer de Delhi ou pilier de fer de Mehrauli est un vestige archéologique et une curiosité métallurgique se trouvant dans le complexe du Qûtb Minâr dans la banlieue sud de Delhi. En 1 600 ans, le film n'a atteint qu'un vingtième de millimètre d'épaisseur.En 1969, dans son premier livre, Chariots of the Gods?, Erich von Däniken a cité l'absence de corrosion sur le pilier de Delhi et la nature inconnue de sa création comme preuve de visites extraterrestres. En 2002, le pilier est analysé une nouvelle fois par une équipe dirigée par R. Balasubramaniam de l'Il s'agit d'un des rares vestiges antérieurs à l'islamisation du site.