Il cherche ainsi à mettre fin à deux ans de débats sur les revenus exorbitants de certaines stars, jugés choquants dans le cadre de la politique publique française de soutien au cinéma, souvent assimilée à un service public.Or, le CNC est bien un organisme public, mais les aides qu'il verse aux producteurs, et qui tendent à s'accumuler dans les poches d'un petit groupe d'acteurs « bankable », ne sont pas financées par l'impôt.Le CNC est placé sous l'autorité du ministère de la culture. L'an dernier, il a financé 57 films avant réalisation, dont 21 premiers films, pour un montant maximum de 700 000 euros par film. © Tous droit réservés 2006-2019 Financement du CNC, financement du cinéma : le dispositif français préservéLes cookies nous permettent d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Le principal point d’achoppement fut notamment la pérennisation du principe de la territorialisation des dépenses.

Les premières ont pour rôle de maintenir à flot une industrie du cinéma qui reste importante en France.

C’est pour éviter cette stratégie de contournement que le gouvernement a fait modifier la TST à l’occasion de la loi de finances 2012, donnant naissance à la TST-D, qui modifie l’assiette de la TST. Depuis, SFR a suivi la même stratégie, le rendement de la TST baissant de nouveau en 2013 à 214 millions d’euros. L’homme d’affaires bordelais Michel Ohayon reprend CamaïeuLes géants de la technologie américaine redoutent les conséquences des sanctions contre la Chine« Les espaces d’inventivité et de solidarité, nouveaux communs urbains, doivent pouvoir accéder à l’immobilier »Pourquoi une partie des Alpes est en train de s’effondrerFace à la sécheresse, des projets pilotes pour recharger les nappes phréatiques françaisesAu Liban, un système politique unique au monde (et en panne)Covid-19 : comment certains malades deviennent des supercontaminateurs« Le tribalisme et le business électoral, tares congénitales des démocraties africaines »« L’aveuglement du président biélorusse révèle sa profonde rupture avec la société qu’il prétend incarner »Présidentielle américaine : la moins conventionnelle des conventionsDivine idylle, père à louer, quête d’identité... Les films à voir« La Nef des fous », best-seller inattendu aux Etats-Unis en 1962« Frantz Fanon, l’indocile » : l’héritage d’un penseur de la décolonisation, sur France Culture« 1870-1871 : la guerre franco-prussienne »: trois témoins, des archives photo et Paris bombardé, sur ArteS’aimer comme on se confine : « Il n’avait pas envie de venir et maintenant on va rompre »S’abonner, c’est consulter dès 7 heures la sélection de la rédaction avec l’application La Matinale Le Centre national du cinéma et de l'image animée a décidé de plafonner les cachets des stars, afin de rééquilibrer l'industrie cinématographique, qu'il finance en partie. Ils proviennent de taxes prélevées dans le secteur, soutenues par des cotisations professionnelles.La première de ces taxes, créée en 1948, porte sur les entrées en salles.

Cela signifie que les films hollywoodiens diffusés en France financent également le fond du CNC.Les chaînes de télévision ont également été assujetties à la taxe en 1986, puis la vidéo (en 1993, à hauteur de 2 % du prix de vente, 10 % pour le « hard » et la violence), la vidéo à la demande en 2003, et enfin, Internet depuis 2007. du CGCT , mais aussi les articles L. 3232-4 et R. 4253-3 de ce même code). Or la Commission européenne souhaitait remettre en question ce principe de territorialisation en appliquant une stricte proportionnalité entre le montant de l’aide et la dépense territorialisée (voir Après l’intervention de la France, la Commission européenne est parvenue à un texte de compromis le 13 novembre 2013. Facture totale : 23,7 millions d'euros. Selon les nouvelles règles du CNC, le montant de ces avances sera connu plus rapidement, afin de faciliter les plans de financement.Jusqu'ici, des producteurs et chaînes de télévision cherchaient à réduire encore les risques d'échec à la sortie en salles et lors des diffusions TV, en investissant une large part de ces aides pour embaucher quelques acteurs jugés porteurs, dont la cote ne cessait d'augmenter.

Ainsi, pour les producteurs, ces aides sont systématiquement attribuées selon les entrées en salles de leurs précédents films, un système que le CNC a affiné, jeudi 4 décembre.Dorénavant, si un film ne respecte pas les plafonds de rémunérations imposés par le CNC, le producteur ne pourra pas utiliser cette aide sur son prochain film.

La nouvelle Communication cinéma autorise toujours la territorialisation des dépenses, à hauteur de 160 % du montant de l’aide et pour 80 % maximum des dépenses. A ces films s'ajoutent 25 autres, choisis après réalisation, pour un montant maximum de 152 000 euros (2,5 millions au total). Celles-ci s'élevaient à 47 millions d'euros en 2012, contre 7 millions dix ans plus tôt.

Le montant de l’aide, quant à lui, est plafonné à 50 % du budget d’un film.

CNC : Charles Tesson reconduit à la tête de l'Aide aux cinémas du monde Date de publication : 22/06/2017 - 14:45 Le CNC a renouvelé les membres de la commission Aides au cinéma du monde. « Frédérique Bredin : “Le cinéma français doit être plus transparent” », interview de Frédérique Bredin, président du CNC… Décryptage. Une position qui doit beaucoup aux aides attribuées par la puissance publique et …