Il n'est évoqué qu'une seule émission chez Bernard Pivot alors que Gabriel Matzneff en a fait au moins deux comme nous le savons puisque la première en 1975 avait également fait polémique. Si l’histoire n’est pas réellement transgressive, l’homme à la soixantaine mais la jeune fille, 16 ans et a été émancipée… On y voit une réelle attirance;, une vraie admiration pour les jeunes filles. 10. Ses contenus n'engagent pas la rédaction.Lisez Mediapart en illimité sur ordinateur, mobile et tablette.En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites. Avant de le blâmer dans Mediapart en 2017, je me suis abusé sur l’abuseur Gabriel Matzneff. »). Lorsque ma mère me reprochait d’être entiché de ce Je ne voulais rien entendre. 3. Sur les 6 pétitions présentées, Gabriel Matzneff en a signé 5 mais Libération ne s'attarde que sur l'une d'entre elles. 8. Annuler. 5. Ludiquement: de la piscine Montchoisi à la piscine Deligny. Je l’ai découvert en lisant des passages des Je me suis souvenu de ce que m’avait lâché, en 1982, alors qu’étudiant au CFJ j’enquêtais sur l’orthodoxie en France, le responsable du SOP (Service orthodoxe de presse) : En 2016, m’est revenu en mémoire le livre magnifique d’Anne-Marie Garat, Je réalisai que je m’étais, pour l’amour du prétendu beau style, jeté dans la gueule du monstre, tel un idiot isolé mais utile. Merci de ce témoignage.Il me semble qu’une certaine mauvaise foi volant au secours de l’hédonisme pédophile revendiqué comme tel ne peut rien changer au fait que la prédation sexuelle qui s’exerce sur des enfants et des adolescents(tes) n’a rien à voir avec la littérature ni la morale, mais relève plutôt de la pathologie psychiatrique et du droit pénal.S’il avait été musulman, afghan et taliban, il aurait pu, tel Abu Nuwas, jouir tout à son aise du corps gracile des fillettes et des garçonnets, sans avoir de compte à rendre à quiconque à l’exception du Très Haut. au F.N. Les auteurs qu’il cite je les lis dans la langue originale pas besoin de ses digressions farfelues, il ne comprend rien à rien vu qu’il n’y a que lui qui l’intéresse.Consternant de suffisance: je suis réprouvé donc je suis, voilà toute la philosophie de nos petits vieux révolutionnaires… Du balai, l’époque ne repasse pas les plats!Et les petits jeunes réactionnaires, si avides de prendre le pouvoir, rejettent en bloc une époque à laquelle ils ne comprennent rien…Matzneff est l’auteur d’un petit bijou : « Nous n’irons plus au Luxembourg », qu’il a écrit à la trentaine. Quand à votre jeune fille turque , j’espere qu’elle héritera pour être moins enchaînée. Utilisé en général quand on n’a plus rien à dire. Son style, si longtemps prisé pour être raffiné, m’est apparu tournant à vide hors du cadre d’une chronique.Ivre de soi-même, l’écrivain patinait dans la fiction, incapable de donner chair à des personnages qui ne fussent pas ses répliques. Politiquement: du F.L.N. » Un argument-massue qu’on nous ressert à toutes les sauces, mais tout à fait déplacé. !Monsieur Matzneff est un délinquant qui vit aux crochets de l’Etat.Au surplus il écrit de très mauvais libres.Son admiration pour Cioran n’excuse rien.Il n’est pas nécessaire de revenir sur les qualités et les défauts du plutôt beau livre de Vanessa Springora (« Le Consentement », Grasset), sur les motifs plus ou moins nobles qui ont conduit à sa rédaction et à sa publication, sur les échos qu’il a eus dans les débats ouverts par sa parution, sur les réactions, la plupart peu glorieuses, qu’il a provoquées dans le cercle journalistico-éditorio-politique et au-delà.Rien à redire sur ces réflexions justes et sensible. Occultant le pire, j’ai défendu sa liberté en croyant défendre la liberté : j’ai couvert un prédateur se faisant passer pour proie.
Philosophiquement: de Schopenhauer à Cioran. Dans mon petit coin, je lui avais apporté sur un plateau mon soutien, parallèle aux puissantes protections dont sut toujours s’entourer le roué Matzneff dans le milieu de la presse et de l’édition ; tissant ses réseaux tout en jouant les artistes maudits. En 2005 et 2007, il continuait à écrire là dessus et à en vanter les mérites. Sur sa table, on peut lire son nom, Matzneff. Cet écrivain était le grain de sable grippant notre société cadenassée gaullo-pompidolo-giscardienne !Je n’ai jamais lu de lui que quelques romans ou essais : la face présentable de l’œuvre.
Cf. Je me souviens d’une animatrice « populaire » de télévision qui, au terme d’un débat sur la prostitution et la pénalisation des clients, me demanda si j’avais une fille et, comme c’est le cas, si j’accepterais qu’elle se prostitue !! Une éclaircie, et il part marcher sur la plage. A 16 ans moins deux mois elle a trouvé sans peine la force de rompre (page 152: « quand j’annonce à ma mère que j’ai quitté G. ,elle reste d’abord sans voix, puis me lance d’un air attristé: « le pauvre, tu es sûre ? 7. Son contentement de soi finit par avoir raison de moi – j’étais prêt à l’admirer autant que peut l’être un petit maître crucial ; il exigeait la dévotion due aux géants des lettres.Je continuais néanmoins de participer de loin en loin à son culte, mais le cœur n’y était plus. Puis il se fait masser, le spa lui est réservé pendant une heure. Ne rien défendre peut se concevoir, Et le pouvoir ( narcissique entre autres) crée des monstres sous leur masque de … 9. Gabriel, Matzneff avec Marie-Agnès. J’ai cependant tenté de débrouiller auprès des services de Radio France son dossier de retraite pour qu’il touchât une petite pension en tant qu’ancien producteur d’émissions consacrées à l’orthodoxie, certains dimanches de l’autre siècle sur France Culture. Aucune cohérence intellectuelle du badinage d’intellectuel d’opérette , joliment emballé.