Les tout premiers dessins des hommes, sur les parois des cavernes, ce sont des animaux. Qu’elles soient d’origine animale ou végétale, introduites ou non par l’Homme, elles ont un effet néfaste sur la biodiversité. C’est un fait qui n’échappe à personne : au cours des années d’évolution, la Terre a perdu beaucoup de ses plus grandes créatures. Avec la disparition des pollinisateurs, c'est l'alimentation de millions de personnes qui est menacée.
Qu’avons-nous fait ? Dans le règne du vivant, ils sont notre seule altérité. Plusieurs secondes à se dévisager, à se démuseler : une rencontre.

Les tout premiers dessins des hommes, sur les parois des cavernes, ce sont des animaux. Pour en arriver à une telle conclusion, les auteurs de l’étude ont analysé à l’aide de modèles mathématiques la distribution du phosphore, un élément essentiel à la croissance des plantes. Or, ce rôle a jusqu’à présent, été minimisé. Nous ne sommes pas seuls à regarder le monde. L’impact négatif varie selon le milieu qu’elles contaminent : les rivières et la raréfaction de certains poissons, les sols et la disparition des insectes utiles à leur formation et à leur stabilité, l’océan et les dangers des plastiques pour les animaux marins… Toutes représentent des menaces pour la biodiversité qui ne sont pas sans risques pour la santé humaine ! Mais contrairement aux précédentes (la dernière date de la disparition des dinosaures), celle-ci aurait une origine tout autre : l’Homme.Vous souhaitez lutter contre la déforestation en Amazonie ? Le port du masque obligatoire dans les entreprises dès le 1er septembre Le parquet de Paris ouvre une enquête préliminaire pour «viol» contre Christophe Girard «L’Etat-providence tourne à plein régime pour amortir le choc économique» Face au Covid, «la vie d’entreprise ne sera plus comme avant» Coronavirus : l'Italie ferme les discothèques et impose le masque le soir en public Convention démocrate: union autour de Joe Biden pour «mettre fin au chaos» Convention démocrate aux USA, manifestation en Biélorussie, rebond du coronavirus en France : l'actu de ce mardi matin Trump et les Ouïghours : l'éthique des affaires n’est pas un objet diplomatique comme un autre Annette Wieviorka : «Les époux Bac sont des acteurs malgré eux de l’histoire de la contraception » A Naples, cité des femminielli, «on est des Vésuve !» Changement climatique : comment les vignobles français préparent l'horizon 2050 Ouragans : va-t-on manquer de lettres pour les nommer cette année ?

Cette disparition des grands animaux est à double tranchant. Il y a également les espèces invasives. Les tigres de Tasmanie ont disparu, abattus jusqu’au dernier en 1936. Il suffit de jeter un coup d’œil à l’inventaire des espèces disparues pour s’en rendre compte.Notre planète autrefois parcourue par des dinosaures, mammouths et immenses spécimens marins, compte aujourd’hui parmi ses espèces records quelques baleines et éléphants dont les populations se maintiennent encore avec difficulté.

!Il faut continuer à sensibiliser et ce depuis le plus jeune âge car on pense à nous mais il faut aussi voir pour nos futures générations et ce qu’on va leur laisser…Donc bravo pour ce message de respect et protection des animaux en voie de disparition !Nous, on vous suit car on se sent vraiment concernés… La catastrophe écologique qui touche actuellement l'Amérique du Sud pourrait changer en profondeur l'habitat de centaines d'espèces. Cet article d’actualité-fiction a été publié dans notre édition spéciale «Les animaux existent. C’est notamment le cas des singes hurleurs et des tamarins d’Amérique du Sud, qui contribuent à la dissémination des graines de figuier. http://labodessavoirs.fr/

Les changements climatiques sont souvent à la une de l’actualité.

En cause : la surchasse et la destruction des habitats naturels.

Peut-on être verbalisé si on ne porte pas correctement son masque ? Et - oui - qu’a-t-elle pensé ?Jean-Christophe Bailly disait des animaux que ce n’est pas l’affect qui devrait primer dans notre relation à eux, mais la surprise. Les plantes n’ont ni yeux ni organe vocal et ne se déplacent pas.

Selon une nouvelle étude, la disparition des grands animaux sur la planète a une conséquence plus importante qu'on ne pensait. Notre planète serait-elle en train de connaître sa sixième extinction massive de sa biodiversité ? Il parle aussi du On peut voir sur YouTube des vidéos des derniers tigres de Tasmanie.

Elle était chez elle. Cette réalité serait actuellement bien plus préoccupante qu’on ne le pensait, selon une nouvelle étude.Une équipe de chercheurs s’est attelée à quantifier l’ampleur du phénomène et leurs conclusions sont plutôt préoccupante.