Cette empreinte existe encore aussi bien dans les parlers locaux , le fonds culturel, ou la toponymie.Une simple anecdote: il y a une quinzaine d'années , lors d'un périple en compagnie d'une amie norvégienne sur Skye nous avons fait la connaissance d'un homme distingué qui possèdait un petit chateau-manoir sur la cote ouest.

Libre à chacun d'avoir un autre avis , à condition d'appréhender la Bretagne telle qu'elle est, et non pas telle qu'on voudrait qu'elle le soit .Je ne suis pas un linguiste distingué et n'aurai garde de me lancer dans de savantes considérations sur la nature du Scotitsh Nationalism.

Note : Ce lieu est un lieu de débat. Je ne connais pas l'auteur de cette carte.Je remarque simplement qu'une impasse a été faite sur l' implantation norvégienne assez considérable dans les archipels des Orkneys et des Shetlands ainsi que dans la bordure nord-ouest (Inner Hebrydies et Outer Hebrydies).
Le gaélique écossais n’est pas une « langue officielle de l’Écosse », sinon il aurait les mêmes droits que l’anglais dans les tribunaux. Deux sont officielles, l'anglais et le gaélique écossais.Cette dernière, langue traditionnelle aujourd'hui minoritaire, a très largement perdu sa place face à l'anglais écossais, variété régionale de l'anglais moderne. Le nom de l’Écosse n’est pas le même dans toutes les langues !!!! Docteure en Breton-Celtique à l'Université de Rennes 2 et au groupe Ermine-CRBC, enseignante au lycée Diwan. Faut arrêter de penser que tout le monde pense en anglais ou en français par défaut ! Contributrice à l'ABP depuis 2005 : des centaines d'articles, des centaines de vidéos en français, comme en breton. Bulletin d'Histoire politique, 2012 ,21 (1), pp.96-106. Pour savoir qui ont est, il suffira de le demander à l'administration... un jour Breton (globalement blanc et européen et pas à la mode), un autre Ligérien (moins blanc et moins européen et plus à la mode), le suivant Grand-Ouestien (le paquet surprise, en tout cas pas blanc historique je l'espère pour devenir enfin politiquement correct)...D'ailleurs ne devrions nous pas laisser tomber la langue bretonne (signe de repli) au moment où l'arabe est bien plus parlé dans nos rues.... et oui, les britophones sont bien plus timorés à s'exprimer publiquement que nos nouveaux bretons... D'ailleurs, il serait intéressant d'avoir le comparatif entre nombre de locuteurs Britophones et nombre de locuteurs Arabophones en Bretagne (cela permettrait certainement d'en finir avec les préjugés et les mythes d'un breton comme langue de Bretagne).Diwan étant par ailleurs également un mot arabe, la transition se fera d'autant plus facilement prouvant au passe notre ouverture sur le monde...Néanmoins parler moi-aussi de métissage... je conçois qu'il y a également eu des germaniques en Bretagne.... Cesson Sévigné (dont le nom vient de Saxon) étant là pour nous le rappeler.... mais, je ne sais pas si à Cesson on cultive encore ses origines issues de la diversité....Dans mon commentaire je n'ai pas pris position pour ou contre le métissage ,c'est simplement un constat . À noter que c’est une loi dont l’initiative remonte aux Tories de Thatcher (Michael Forsyth) et qui a finalement été votée en 2005 par le gouvernement travailliste, c’est-à-dire, dans les cas, des partis unionistes, donc pas du tout nationaliste, ce qu’explique très bien James Costa, mais aussi Wilson McLeod (dont je vous conseille de consulter les publications sur le sujet).Il suffit d'ouvrir les yeux, les oreilles et le nez .... et de voyager : partout, se met en place un monde standardisé avec les mêmes chaînes de magasins, de restauration rapide, les mêmes architectures type Défendre la langue bretonne ( ou le corse, le basque ....), c'est aussi défendre la forêt amazonienne, les peuples amérindiens, la musique tzigane, la cuisine alsacienne .....Défendre bec et ongle la langue bretonne ( et donc cette façon de penser unique ), c'est comprendre que la vie est multiple, qu'elle ne peut survivre à l'uniformisation et que aucune de ses composante n'est inférieure aux autres, et encore moins inutile ...Anglais, gaélique, scot : les trois langues de l'Écosse Langue et nationalisme en Écosse : trois langues pour une nation. Les pseudos sont tolérés mais ne sont pas encouragés. Les lois contre le racisme, le sexisme, et la diffamation doivent être respectées.