« Je fais de belles rencontres, confie-t-il. Succès immense, ce titre est devenu au fil des années un véritable classique du chanteur qui figure sur l'album sorti en 1982. réviser les corons avant d’aller au match. Sortie en 1982, la chanson "Les corons" de Pierre Bachelet est, aujourd’hui, le symbole d’une région et d'une génération, qui souhaite honorer avec fierté le passé douloureux de ses aînés. Tout le monde parlera du public lensois et de sa reprise des « Corons » après la mort de Pierre Bachelet en 2005, qui sera d’ailleurs chanté avant le match du 19 février 2005 par 32000 spectateurs.L’année suivante c’est un hommage à la veuve de Pierre Bachelet qui a lieu au sein de Bollaert. Au nord c'était les corons La terre c'était le charbon Le ciel c'était l'horizon Les hommes des mineurs de fond Et c'était mon enfance et elle était heureuse Dans la buée des lessiveuses Et j'avais les terrils à défaut de montagne D'en haut je voyais la campagne Mon père était gueule noire comme l'étaient ses … “Le Nord c’était les corons, la terre c’était le charbon”. Le 11 mars 2016, c’est pour commémorer les 110 ans de la catastrophe de Courrières avec une banderole : 110 ans après, nous n’avons toujours pas oublié ! Les terrils, constitués au fil des ans par les résidus miniers, se dressent autour de Lens, près des anciens puits qui sont désormais classés au patrimoine mondial de l’Unesco.Pierre Delroisse travaille comme guide touristique sur ces terrils et tient un gîte dans une ancienne cité minière de Lens. Au nord, c’étaient les corons La terre c’était le charbon Le ciel c’était l’horizon Les hommes des mineurs de fond

Twitter : @SNEL_YT SnapChat : snel-cr. Paroles : Au nord c'était… Un ensemble de corons a même été converti en hôtel 4 étoiles, face au Louvre-Lens, symbole des tentatives de reconversion économique de la région. C’est ce qu’évoque la chanson qui touche les nôtres.Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, l’origine du club est très loin de la mine, c’est un club de la bourgeoisie lensoise qui est formé en 1906. Reposez en paix ! Dans le Nord, il y a plein de mines à charbon, il se fait donc engager comme herscheur (il pousse les wagonnets rempli de minerai). L’identité ouvrière n’apparaît qu’à partir de 1934 après le rachat du club par la Société des Mines de Lens voire même après 1940 quand le football devient le sport ouvrier majeur.Cette chanson marque les esprits et rappelle des instants empreints de nostalgie mais également des moments de joie et de liesse populaire.Mon père était « gueule noire » comme l’étaient ses parentsRestez informé de toutes les actus de l'Office de Tourisme !L’office de tourisme vous acueille du lundi au samedi de 9h30 à 18h.

Au nord c'était les corons La terre c'était le charbon Le ciel c'était l'horizon Les hommes de mineurs de fond Nos fenêtres donnaient sur des fenêtres semblables Et la pluie mouillait mon cartable Mais mon père en rentrant avait les yeux si bleus Que je croyais voir le ciel bleu J'apprenais mes leçons la joue contre son bras Je crois qu'il Refrain: Au nord, c’étaient les corons La terre c’était le charbon Le ciel c’était l’horizon Les hommes des mineurs de fond. R Au Nord c'était les corons La terre c'était le charbon Le ciel c'était l'horizon Les hommes de mineurs de fond 1 Nos fenêtres donnaient sur des f'nêtres semblables Et la pluie mouillait mon cartable Mais mon père en rentrant avait les yeux si bleus Ses parents, blanchisseurs, s’installent à Calais où Pierre Bachelet passe une partie de son enfance avant de retrouver Paris. Bien plus tard, il a rencontré son épouse dans les rangs des supporters, et leurs deux filles comptent désormais parmi les 15 000 abonnés du Racing Club de Lens. C’est... Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé. Pour ce treizième volume des Rougon-Macquart, nous suivons Etienne Lantier, dans le Nord de la France. »Si le souvenir de la mine hante l’imaginaire collectif, il modèle aussi le paysage. « Le destin de cette chanson correspond aux rapports complexes que la région entretient avec sa mémoire, commente l’historienne Marion Fontaine. Les emblématiques corons – ces maisons construites en briques pour loger les ouvriers et leurs familles – ont été réhabilités.