Pour s’élever socialement, il prévoit de partir avec elle tenter sa chance en Amérique. Mini série créée par Catherine Ramberg et réalisée par Alexandre Laurent un peu par dessus la jambe tant il y a invraisemblances compte tenu de l'époque racontée. Publiée le 26 novembre 2019 Terrifiant! Usurpation d’identité, amours interdites, changement radical de vie, émancipation, cette mini-série nous plonge dans la société parisienne de la fin du 19e siècle, en suivant le destin romanesque de ses trois héroïnes.

J'étais déjà amoureux d’Audrey Fleurot, là je craque!!!

Avec Le scénario est confus.

Un film sur l'ennui? De Je viens de regarder les 4 premiers episodes c est excellent

Très caricatural aussi bien sur le fond (les méchants bourgeois contre les gentils prolos), comme la forme (on voit que les réalisateurs sont peu familiers avec les us et coutumes de la noblesse et de la vieille bourgeoisie). Audrey Fleurot fait plus prostituée que femme du monde, les langages ne ... Adèle Haenel est élue personnalité... Pas d’accord mais il y e. Faut pour tout le monde !!!!! Si vous avez adoré...À l'occasion de l'arrivée de la saga historique événement "Le Bazar de la charité" sur Netflix, découvrez quelle actrice... Le Bazar de la charité est une série TV de Catherine Ramberg et Karine Spreuzkouski avec Audrey Fleurot (Adrienne de Lenverpré), Julie de Bona (Rose Rivière). Sérieux??? On ne regarde pas la même série alors... Une vraie réussite au contraire je vois bien qu'il y a un tourniquet comme porte principale mais bon.

A cette occasion, trois femmes, Adrienne De Lenverpre, Alice De Jeansin, et sa bonne Rose Rivière voient leur destin bouleversé. Suivre son activité Suivre son activité

La faute à trop de personnages mal définis au départ et dont les dialogues sont risibles car trop en décalage avec l'époque dans laquelle s'inscrit l'action . ", a indiqué Camille Lou à Télé Loisirs.

Très vite, les gazettes ironiseront sur la fuite des hommes, au besoin à coups de canne ou de poing (les qualifiant de A partir de ce drame qui fit très grand bruit à l’époque, les scénaristes Catherine Rambert et Karine Spreuzkouski ont construit une fiction centrée sur trois femmes qui verront leur destin chavirer à la suite de cet incendie.Pour s’être informée sur la démarche à suivre pour divorcer, Adrienne de Lenverpré (Audrey Fleurot) vit un enfer sous la coupe de son mari, richissime politicien conservateur qui entend briguer la présidence du Sénat et la garder en femme-trophée auprès de lui ; l’incendie fournira à cette aristocrate un alibi pour tenter de sortir des griffes de son époux et recouvrer la liberté.

Paris, 4 Mai 1897. Un assez bon premier épisode, même si honnêtement on comprend vraiment rien a la progression de l'incendie, comment il y a pu y avoir plus de 100 morts ? ), au contexte, au comportements de lâcheté peut-être (vu que les sources viennent de rumeurs), mais surtout aux multiples actes de courage de la part de nombreux héros ordinaires ou non, autant parmi les victimes que les témoins pour se rendre compte que cette fiction est une insulte à ce fait historique qui méritait tellement mieux que ces histoirettes romancées dans une réalisation invraisemblable.