-%1�x��Q��#LF�[����ͣ٩[F\��!NV@�v?�O�_�at��%#@C��ɼ���"G^T�es�g7+�u�LW�;�g�@��P"$Sg2�G���� CI�� ��s�N\3(�� ��#貊�����Y}���,��#)1���"Kڈ�ܭ�pk��*C?�ޔ���nS����σ3�'p�S�>7�K(-I�f�a���$�����{p�G����Ծ� J'ai reconnu que ce qui avait passé pour miraculeux dans ce siècles éloignés, pourrait sembler horrible au nôtre, et que cette éloquente et curieuse description de la manière dont ce malheureux Prince se crève les yeux, et le spectacle de ces mêmes yeux crevés dont le sang lui distille sur le visage, qui occupe tout le cinquième acte chez ces incomparables originaux, ferait soulever la délicatesse de nos Dames qui composent la plus belle partie de notre auditoire, et dont le dégoût attire aisément la censure de ceux qui les accompagne ; et qu'enfin l'amour n'ayant point de part dans ce sujet, ni le femmes d'emploi, il était dénué des principaux ornements qui nous gagnent d'ordinaire la voix publique.
endstream OEDIPE Peuple qui, dans ce temple apportant vos douleurs, Présentez à nos dieux des offrandes de pleurs, Que ne puis-je, sur moi détournant leurs vengeances, De la mort qui vous suit étouffer les semences !

endstream Non que de là j'ose prendre l'occasion de faire ses éloges. <> Comme j'ai pris une autre route que la leur, il m'a été impossible de me rencontrer avec eux : mais en récompense, j'ai eu le bonheur de faire avouer à la plupart de mes auditeurs, que je n'ai fait aucune pièce de théâtre où il se trouve tant d'Art qu'en celle-ci ; bien que ce ne soit qu'un ouvrage de deux mois, que l'impatience française m'a fait précipiter, par un juste empressement d'exécuter les ordres favorables que j'ai reçus.DIRCÉ, princesse de Thèbes, fille de Laius et de Jocaste, soeur d'Oedipe et amante de Thésée.L'absence aux vrais amants est encore plus funeste ;Sont des avis pressants que de grâce il vous donne,C'est vous dire assez haut qu'il est temps d'échapper.Je le vois comme vous ; mais alors qu'il m'assiège,Vous laisse-t-il, madame, un plus grand privilège ?Ah ! Signé, BECHET, Syndic.Achevé d'imprimer pour la première fois le 26 [Mars] 1659, à ROUEN, par L. MAURY.Discords : Désunion, dispute, querelle. Mon devoir aux deux partis m'attache :Nul espoir d'aucun d'eux, nul effort ne m'arrache ;L'un et l'autre me plaît, l'un et l'autre me gêne ;Et mon coeur, qui doit tout, et ne voit rien permis,C'est votre foudre, ô ciel, qu'à mon secours j'appelle :L'un n'est que votre sang, l'autre n'est que le mien,Qui vous nomment l'auteur de leurs mauvais destins.De l'ombre, disent-ils, ont fait tous les prodiges :Tant ils conçoivent mal qu'un si grand roi consenteMoi-même, au fond du coeur, de même horreur frappé,Pour armes contre vous n'ont pris que des soupirs ;Phorbas même est à craindre, et pourrait le réduireOedipe fait un signe de tête à sa suite, qui l'oblige à se retirer.Le roi Polybe est mort ; ce malheur est bien grand ;Mais comme enfin, seigneur, il est suivi d'un pire,Son fils, qu'on croyait mort, vient ici de renaître ;Me fait abandonner et peuple, et sceptre, et femme,Mais il n'est plus de sceptre à Corinthe pour vous.Mais le compte qu'aux dieux la mort force de rendreJe ne suis point son fils ! endobj Nos dernières années ont produit peu de livres considérables, ou pour la profondeur de la doctrine, ou pour la pompe et la netteté de l'expression, ou pour les agréments et le justesse de l'Art, dont les auteurs ne se soient mis sous une protection si glorieuse, et ne lui aient rendu les hommages que nous devons tous à ce concert éclatant et merveilleux de rares qualités et de vertus extraordinaires, qui laissent une admiration continuelle à ceux qui ont le bonheur de l'approcher. 6 0 obj 10 0 obj ��n1�=�D��2� ݮ̮��b���Ӳ�"K58I�Ƚ����'��L�� endobj 165 Mais un roi n'est qu'un homme en ce commun danger, &I̖�9z^j� ���(N���UXx�_)�+�gu-� Seigneur, quand l'amour tient une âme alarmée,Je vois aux pieds du roi chaque jour des mourants ;J'y vois mes soeurs, la reine, et les princes mes frères :Que je tremble pour vous quand vous tremblez pour moi,De craindre autres périls que ceux de ma princesse :Votre exemple est pour moi la seule règle à suivre ;Ces bras, que craint le crime à l'égal du tonnerre,Pour souffrir que l'amour soit maître de leurs jours.Pour porter en tous lieux vos soupirs et ma gloire,Et rend à sa chère ombre encore ce triste hommage. Il est permis au Sieur CORNEILLE de faire imprimer une tragédie d sa composition, intitulée L'OEDIPE, pendant le temps de sept années, à commencer du jour qu'elle sera achevée d'imprimer. endobj 8 0 obj OEDIPE. endobj Il est vieux et hors d'usage. Pierre Baux OEdipe Antoine Caubet Créon Cécile Cholet, Delphine Zucker Le choeur - Le coryphée ... Corneille, Voltaire, Hölderlin, Gide, Cocteau, Bauchau, Pasolini et son célèbre film de 1967…) et à d’inépuisables commentaires Des fleurs rouges apparaissent dans les herbes, qui seront d’ailleurs reprises ensuite, dans la maison familiale et …